La situation économique de la France est quasiment parfaite, la croissance est là et le chômage est à son plus bas niveau depuis la préhistoire. Cependant, le pays présente un endettement assez important et c'est pour remédier à cette situation que le président Macron vient de décider en conseil des ministres de vendre à l'Australie le vieux stock de slips kangourous accumulés par Brigitte au fil des années. Une vente qui devrait améliorer de façon sensible les finances publiques. Analyse.

C'est en regardant Jean-Michel Brigitte se raser maquiller que le président eu l'idée de génie qui allait laver l'affront dans l'affaire des sous-marins : Négocier des contrats avec l'Australie pour leur vendre le stock de 2800 slips kangourous amassés par Brigitte au fil des années. Vendre des slips présente un avantage très net : La France est certaine de remporter le contrat, car d'après les services secrets la femme de Biden n'a pas de slips kangourous.

 

Le prix passe de 1 million d'euros à 75 centimes par slip

 

Macron a donc chargé le cabinet Mc Kinsey d'établir le prix d'un slip, ce dernier a évalué le montant à un million d'euros. C'est alors que le gouvernement exulte, cela ferait un contrat de presque 3 milliards, une affaire qui roule d'autant plus que les australiens sont d'accord pour le prix. Les slips kangourous de Brigitte devraient servir à masquer les kangourous dans les zoos australiens pour les préserver du covid.

Malheureusement à l'expertise du stock, Mc Kynsey se ravise et baisse la valeur du slip à l'unité qui passe de un million d'euros à 75 centimes. En effet, les slips sont jaunis, présente des trous et ont en plus une mauvaise odeur rappelant un sandwich moules-frites-saucisse.

Suite à la nouvelle évaluation du cabinet de conseil américain, une réunion de crise est organisée à l'Élysée avec tous les ministres pour déterminer s'il est toujours intéressant de vendre ce trésor national alors que son prix a diminué de 100 %.

Après bien des discussions, la décision est prise. La France va se séparer d'un joyau national à bon prix car cela rapporterait environ 2000 euros, de quoi payer l'absence au travail d'un député pendant environ 10 jours. C'est alors que Brigitte propose de vendre aussi ses vieux rasoirs et préservatifs qu'elle a toujours conservé précieusement. 

La négociation tournera court et l'Australie emballée par tous les accessoires de Brigitte signera finalement le contrat les yeux fermés. La presse française devrait valoriser ce magnifique contrat qui fera revenir la France au premier plan du marché des affaires.