Encore une nouvelle prise de position du philosophe bien connu Bernard-Henri Levy, que nous rencontrons dans l'une de ses modeste demeure de 640 m2 face à l'océan atlantique. Confortablement assis dans un canapé d'angle en cuir de 8 places couleur crème, le philosophe assume devant nous une prise de position courageuse.
En ces temps de coronavirus, BHL se confie "cela fait des années que j'hésite à départager les deux productions Haribo qui me torturent l'esprit et provoquent chez moi un débat intérieur : les fraises Tagada et les Dragibus. Mais là je vous l'affirme, les fraises Tagada ne sont pas à la hauteur des Dragibus, sur aucun plan".
Et là Bernard-Henri Levy se lance dans un discours qui durera au total deux heures et demi pour nous dire tout le mal qu'il pense des fraises Tagada et nous dresser les multiples vertus des Dragibus.
BHL continue : "Il faut prendre position, il faut dénoncer ce qui ne vas pas avec force et détermination c'est aussi ça qui fait le noblesse de l'engagement d'un homme qui s'indigne devant la médiocrité de notre monde. En plus, Arielle a remarqué que chaque fois que je prends des Dragibus, j'ai une grosse érection, c'est un peu mon viagra à moi".
Devant notre interrogation, le philosophe nous confie s'être replongé dans les ouvrages des plus grands pour résoudre ce conflit intérieur. Pendant qu'il explique avec fierté comment il est arrivé à résoudre ce dilemme, il vient à bout d'un paquet de fraises Tagada. Il n'y en aura plus pour nous malheureusement, toutefois BHL nous fera cadeau du paquet vide. Nous le gardons précieusement comme une vieille relique et partons le cœur léger devant un si bel engagement.