Il s'en passe des choses depuis que la Russie a décidé de faire la guerre à l'Ukraine, et l'une des premières conséquences est la pénurie de gaz qui pourrait arriver plus tôt que prévu. Si en France, on sort doucement de l'hiver pour arriver vers un printemps agréable, il n'en est pas de même en Allemagne ou les températures sont beaucoup plus basses, d'ou l'inquiétude de la sémillante présidente de la commission, Ursule Von der Leyen. Mais cette dernière vient de trouver une solution pour éviter le drame. Un témoignage exclusif de la principale intéressée.

"J'étais en train de caresser mes toilettes turques offertes par le président Erdogan quand l'idée m'est venue comme ça. Bien sur, je les nettoie toujours au paic citron avant, ça m'aide à réfléchir. Je me suis dit, ma petite Ursula qu'est ce que tu ferais toi pour avoir du gaz, si tu n'en avais plus à part manger des haricots ?".

 

Un vrai trou du cul, pas Emmanuel Macron

 

C'est à ce moment là que l'idée de génie frappe la présidente de la commission européenne. "Tous les européens sont dotés d'un trou du cul, non pas Emmanuel Macron, mais d'un vrai trou du cul émettant parfois du gaz. Et bien les européens doivent le collecter et s'en servir pour leurs usages quotidiens comme le chauffage et la cuisine. En mangeant suffisamment de produits provoquant des gaz, on peut arriver vers l'autonomie complète, et là Poutine sera bien emmerdé". 

Ursula Von der Leyen commence alors l'expérience avec les WC turcs d'Erdogan : "Je me suis dit qu'il faut faire un essai, il faut tenter pour voir si ça fonctionne, et je me suis positionné sur mes WC turcs et là c'est parti comme une rafale de boulets de canon".

"Je venais de manger une vingtaine de saucisses de Francfort et j'ai réussi à remplir l'équivalent de deux-cent litres environ de gaz. Il y a eu un peu de bruit à tel point que les forces de sécurité ont entouré la commission et qu'une alerte concernant les armes chimiques à été mise en place, j'ai du intervenir pour dire que je faisais une expérience aux toilettes".

C'est alors qu'Ursula sort avec son cumulus rempli de gaz naturel et bio et qu'elle le met sur sa petite clio de 1997. Son maigre salaire d'environ 30 000 euros par mois ne lui permet pas d'acheter une voiture plus récente. La petite clio de la présidente arrive vers son logement. Ursula monte les 18 étages de sa résidence à pied avec son cumulus sur le dos, car l'ascenceur de la résidence est en panne. "Vous voyez, nous sommes comme vous, nous avons les mêmes conditions de vie que les gueux les citoyens européens".

La présidente de la commission travaille d'arrache-pied toute la soirée et compte se préparer des haricots verts achetés en boite chez Aldi avec son gaz produit quelques heures auparavant. 

Dans le minuscule appartement, Ursula travaille et extirpe le gaz avec une paille qu'elle remettra dans une bouteille de gaz butane vide. C'est alors que la présidente tourne le bouton de la gazinière et la, la magie opère, le gaz alimente le feu qui réchauffera les haricots en boite.

 

Ça marche, ça sent pas la rose mais ça marche

 

La présidente de la commission l'affirme : "oui on peut se passer du gaz russe de Poutine, j'en suis la preuve vivante. Le seul inconvénient c'est l'odeur, mais bon c'est un détail".

Dans les jours prochains, la commission lancera une grande campagne d'information sur la collecte du gaz naturel et bio. Nous avons 450 millions de producteurs potentiels sur le territoire. Nous avons une telle capacité que nous pourrions même en vendre à la Russie.