Une salade de tomate coupable

Le Coronavirus serait-il un article de la réforme des retraites ? Un article salvateur qui permettrait enfin aux régimes de trouver le chemin de la propsérité en éliminant ceux qui bénéficient d'une retraite et ceux qui s'en approchent dangereusement ? Et si le Coronavirus avait été fabriqué dans la cuisine du nouveau haut-commissaire aux retraites Laurent Pietraszewski ?

Loin de nous l'envie de faire dans le complotiste de caniveau. Mais il est permis de s'interroger et en tant que journalistes d'élite, on s'interroge. Si si.

On sait que Laurent Pietraszewski est un amateur de cuisine et qu'il est un fin gourmet, on sait que ses plats préférés et ceux qu'il reussit le mieux sont la saucisse-purée et la salade de tomates.

Nous avons enquêté pendant plusieurs semaines sur cette propagation inquiétante de ce mystérieux virus venu de Chine. Ce virus a une durée d'incubation horlogère de 14 jours 7 heures 42 minutes et 33 secondes, du jamais vu dans le domaine médical. Dans le contexte actuel en France ou pleins de gaulois réfractaires au changement ne veulent pas changer, le Coronavirus pourrait être la solution miracle qui pourrait sauver le régime (des retraites). C'est la que le haut-commissaire intervient.

Notre enquête révèle que Laurent Pietraszewski fabrique lui même des salades de tomates et de la saucisse-purée en nombre dans sa cuisine et qu'il revend les produits dans le monde entier. Nous pouvons démontrer qu'il a envoyé des produits en Chine quelques semaines avant le début de la maladie. Comme par hasard, c'est là que l'épidémie a commencé et qu'elle semble viser de préférence les personnes âgées. Voilà qui est un élément troublant certain.

Un virus à la solde du gouvernement pour faire des économies ? Plusieurs éléments nous font penser que le Coronavirus serait un agent du gouvernement et qu'il ferait partie intégrante du texte de loi sur les retraites.

Laurent Pietraszewski ne s'étale pas sur le sujet qui visiblement le dérange. Un élément qui nous pousse a poursuivre nos investigations.

La semaine dernière, un de nos collaborateurs a été pris d'une quinte de toux soudaine. Avec courage et détermination, nous avons enfilé nos masques et jeté par la fenêtre fait évacuer de la rédaction le malade par la fenêtre (du 6ème étage). Après autopsie, il s'avère que le coupable n'était pas le Coronavirus mais une cacahuète réfractaire.

Nous vous appelons en attendant à rester vigilant sur le Covid-19 mais aussi à vous méfier des cacahuètes.