Depuis que le Pr Bruno Megarbane intervient sur tous les plateaux TV, le monde s'en trouve meilleur. En effet, en bon représentant de commerce en bon spécialiste, il n'a eu de cesse d'alerter et de protéger la population en l'incitant à se faire injecter. A l'heure où l'on parle de troisième dose, le Pr Megarbane alerte sur la Seine. Décryptage.
Une consommation d'eau pure pour le professeur
Si les français savent déjà que Bruno Megarbane avaient des problèmes de règles, ils ignorent probablement qu'il est aussi un grand spécialiste de la géographie. Il parcourt régulièrement la Seine où il aime régulièrement prélever une ou deux bouteilles d'eau pour sa consommation personnelle. Cependant si une eau fraîche et pure est toujours un plaisir pour le professeur, ce dernier est allé plus loin.
Sur son lieu de travail un plateau TV, Bruno Megarbane révèle avoir fait des analyses sur des prélèvements effectués sur la Seine et a fait une troublante révélation sur Cnews. On apprend grâce aux analyses du professeur que la Seine n'a plus d'anticorps, et qu'une troisième dose de 15 000 litres environ serait nécessaire pour protéger le fleuve du coronavirus.
Mais quel impact aurait pour la Seine une absence d'anticorps à long terme ? A cette question, le professeur répond que le fleuve perdrait tout d'abord sa belle couleur noire/verdâtre et finirait par se transformer en rivière, puis en ruisseau jusqu'à s'assécher au bout de quelques années. C'est une perspective inquiétante selon la mairie de Paris, ou se débarrasser des objets encombrants et/ou compromettants si le fleuve n'existe plus ?
Une troisième dose de 15 000 litres
Cependant, l'état général de la Seine est assez rassurant puisqu'on retrouve les oligo-éléments habituels (métal, plastique, traces de pneus, médicaments, objets divers et variés comme la vielle pelle à tarte de tata Simone perdue en 1928). D'ailleurs Bruno Megarbane confirme que le goût (agréable selon lui) n'a pas changé, c'est juste les anticorps du fleuve qui ont disparus, et c'est pas bien.
Alors que faire pour protéger la Seine ? Selon le professeur, il n'y a qu'une seule solution, c'est la vaccination. Il assure que pisser ou se doucher dans la Seine n'a aucun effet sur le taux des anticorps puisqu'il a déjà essayé, même avec le concours de Xavier Bertrand. Il a pu obtenir un prix compétitif de la part de Pfizer qui consent à facturer ses 15 000 litres de produit au prix modique de 37 milliards d'euros.
Anne Hidalgo est très emballée par une troisième dose pour la Seine d'autant plus que le prix est intéressant. Les impôts des parisiens n'augmenteraient que de 180 % l'année prochaine et doubleraient chaque année pendant cinq ans.
Une affaire selon le professeur.