Quelques semaines après l'affaire Mila, Nicole Belloubet est rassurée sur plusieurs plans et notamment sur ses compétences après que des cours de rattrapage Acadomia lui aient été payés par le ministère de la justice. La ministre sait maintenant qu'il n'y a pas de blasphème en France grâce à Alice, la talentueuse étudiante de 22 ans qui lui a dispensé des cours.
Du haut de ses compétences nouvellement acquises, la ministre nous confirme fièrement que le blasphème n'existe pas mais évoque de nouveau l'atteinte à la liberté de conscience. Devant notre étonnement, Nicole Belloubet s'embrouille à nouveau et ressort les photocopies d'Alice. Après quelques minutes de lecture, la ministre en est bien certaine, il n'y a pas de blasphème en France !
Courageusement et à notre demande, la ministre revient sur les critiques envers les religions en général et l'islam en particulier, sont-elles encore possible ? Oui nous dit-elle mais il faut le faire gentiment. La ministre nous donne alors quelques exemples : vous pouvez dire par exemple que l'islam est trop mystérieux pour vous et qu'on ne le connaît pas assez bien ou encore que vous n'avez trouvé aucun avis sur telle ou telle marque de babouches dans le coran. Vous pouvez dire également que vous auriez préféré une autre police de caractère que celle qui illustre le livre sacré que vous avez acheté. Voilà des critiques constructives et qui ne ne blesse pas les croyances car cela pourrait vous valoir des problèmes avec la justice en cas de blasphème.
C'est alors que la ministre s'effondre en larmes, un collaborateur s'approche et la rassure : Madame la ministre, nous allons rappeler Alice !